Wonjin PARK, Emma-Jade DE MOOR, Javiera PARR
Mots-clés : Environnement sonore, transports, déplacement, naturel et artificiel, isolation sonore
Hypothèse de recherche :
Si la transition visuelle entre plateau et vallée semble être perçue comme abrupte par les usagèr·es de ces espaces, l’environnement sonore d’un·e personne se déplaçant en extérieur et sans isolation quelconque paraît plutôt évoluer de façon graduelle : la perception sonore s’amenuise progressivement au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la source et gagne en intensité lorsqu’on s’en approche.
Dans le cadre de l’atelier Design Cognition, nous avons fait le choix de travailler sur la thématique du son et plus spécifiquement de l’environnement sonore dans lequel les voyageur·euses évoluent lors de leurs trajets quotidiens entre la Vallée et le Plateau.
Methodologie de recherche :
A partir de collecter les échantillons sur le plateau et la vallée, il faudrait y avoir :
- Enregistrer le son
- Noter où nous avons pris le sn précisément
- Nommer le fichier avec endroit – heure – date – météo
- Classifier le son dans différentes catégories
Pour comprendre l’expérience sonore des habitants locaux, il faudrait construire un enquête du terrain sur place. :
- Entretien : demander de raconter, exprimer ses souvenirs sonores = pour comprendre le ressenti en fonction de où on est.
- Première approche : faire écouter des sons et faire deviner d’où ça vient = pour vérifier s’il y a un biais.
- Vision objective : faire écouter des bruits et demander “qu’est ce que ça vous évoque ?” = une expérience pour vérifier si les sons évoquent bien ce qui a été décrit.
Sur chaque étapes de méthodologie, nous avions besoin des matériaux indispensables : la série d’enregistrement, les cartes, stickers numérotés, microphone pour l’entretien, le casque, l’enceinte etc.

Classification des sons que nous avons entendu lors de la balade, le 17 Octobre 2024, de Palaiseau Ville à La ferme de la Vauve